Extraits de Chine

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Extraits de Chine

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Kishore Mahbubani, Le jour où la Chine va gagner, La fin de la suprématie américaine, Ed. Saint-Simon, 2021, 317p., 23€.

Voici une lecture tonifiante ! Comme l'écrit dans sa préface Hubert Védrine, l'ancien ministre des Affaires étrangères de François Mitterrand, Kishore Mahbubani parle cash. L'analyse sans concession  que fait cet ancien ambassadeur de Singapour aux Nations Unies de la rivalité sino-américaine est plus qu'éclairante.

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Mots clés: Diplomatie
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Pékin, analyse la chercheuse dans un entretien au Monde investit activement cette ancienne zone soviétique, selon une stratégie visant à assurer la stabilité régionale et à conserver des débouchés commerciaux en cas de conflit sur les mers.

Source : Le Monde du 5 février 2021. Propos recueillis par Brice Pedroletti.

Niva Yau est, depuis 2018, chercheuse junior à l’Académie de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), basée à Bichkek, au Kirghizistan. La jeune femme, originaire de Hongkong est aussi chercheuse non-résidente à l’Institut de recherche en politique étrangère de Philadelphie. En 2020, le Washington Post lui a décerné un prix Albie – en mémoire de l’économiste Albert O. Hirschman (1915-2012) – qui récompense les dix meilleurs articles d’économie politique publiés dans l’année.

Le projet des « nouvelles routes de la soie » du président Xi Jinping a été officiellement lancé à Astana, au Kazakhstan, en 2013. Mais nombre d’investissements chinois lui sont antérieurs. Quelle a été leur évolution ?

Dans les années 1990-2000, les investissements chinois allaient surtout dans les gazoducs (au Turkménistan), l’exploitation de pétrole (au Kazakhstan), et au Kirghizistan et au Tadjikistan, dans des infrastructures de base, comme la construction de routes, d’usines de ciment ou de goudron.

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La baisse du nombre de naissances et l’augmentation concomitante de l’espérance de vie rendent la situation du système de retraites explosive, note Frédéric Lemaître, correspondant du « Monde » à Pékin.

Dans un parc de Shanghaï, en 2008.Dans un parc de Shanghaï, en 2008. AFP PHOTO/Mark RALSTON

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Selon Le Monde du 5 janvier 2021, la Chine s’est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2060. Mais avec une majorité de son énergie reposant sur le charbon, la réduction de ses émissions s’annonce être une gageure.

Source : Le Monde, article de Frédéric Lemaître du 5 janvier 2021

La Chine s’apprête-t-elle à passer du rouge au vert ? Le discours prononcé par Xi Jinping lors de la 75e session de l’Assemblée générale des Nations unies, le 22 septembre, a soulevé de nombreux espoirs à travers le monde. A la surprise générale, le président chinois a annoncé que Pékin se fixait comme objectif de parvenir à la neutralité carbone à l’horizon 2060 et même à atteindre un pic de ses rejets de CO2 avant 2030 – et non plus « autour » de 2030, comme indiqué lors de son précédent plan climat.

Malgré le scepticisme de nombre de sinologues habitués aux discours sans lendemain des dirigeants communistes, cette annonce a incontestablement relancé une dynamique internationale. Si le premier pollueur de la planète – la Chine est responsable d’un quart des émissions de gaz à effet de serre – s’engage réellement en faveur du climat, tout est possible. D’ailleurs, dans le sillage de Pékin, le Japon, immédiatement suivi par la Corée du Sud, s’est engagé fin octobre à atteindre cette neutralité carbone dès 2050. « Une énorme victoire pour la planète », s’est félicité Greenpeace, peu habituée à tresser des lauriers à ces trois gros pollueurs.

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Inquiet des ambitions d’une Chine conquérante, le Japon, écrit Le Monde,  s’interroge sur la fiabilité de l’alliance avec les Etats-Unis, partagé qu'il est entre sa solidarité avec l'Occident et la crainte de courroucer la Chine.

Source : Le Monde.fr du 18 août 2020. Article de Philippe Pons.

Soixante-quinze ans après la défaite du Japon, le 15 août 1945, l’aggravation des tensions et des rivalités géopolitiques en Asie orientale, sur fond de la triple crise sanitaire, économique et politique engendrée par la pandémie, nourrit au Japon un sentiment d’anxiété. « L’ordre post-guerre froide s’effrite et la question de la sécurité du Japon doit désormais être envisagée en tenant compte de ce contexte et non plus seulement en termes juridiques de conformité ou non à la constitution », estime le politologue Masayuki Tadokoro de l’université Keio à Tokyo. L’article 9 de la Constitution japonaise postule que le Japon « renonce à jamais à la guerre ». 

Un contexte d’autant plus tendu que, dans cette partie du monde, la guerre froide ne fut pas une période d’« équilibre de la terreur » comme en Europe, mais de « guerres chaudes » (en Corée et au Vietnam) dont restent des séquelles : dans la péninsule coréenne, deux armadas sur le pied de guerre se font face depuis plus d’un demi-siècle avec les risques d’affrontements et d’une attaque de missiles balistiques nord-coréens sur l’Archipel.

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