Nous constatons de nombreuses terrasses abandonnées. Sans doute, il a été plus tentant pour nombre de paysans d’aller vendre leur force de travail sur la côte est lorsque se sont construites les villes et les usines des Zones économiques spéciales. En attendant, agrippé à ses montagnes en terrasses, le village de Ping’an semble tirer son dynamisme de la prospérité ambiante.