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b2ap3_thumbnail_image_20170313-025221_1.jpegb2ap3_thumbnail_image_20170313-025349_1.jpegb2ap3_thumbnail_image_20170313-025432_1.jpegb2ap3_thumbnail_image_20170313-025507_1.jpeg

b2ap3_thumbnail_image_20170313-075541_1.jpeg b2ap3_thumbnail_image_20170313-075911_1.jpeg b2ap3_thumbnail_image_20170313-080213_1.jpeg Destination Xijiang dans le Guizhou, en pays Miao, une minorité importante du sud de la Chine. Le "village aux mille maisons de bois" (diaojiaolou) s'étire et surplombe les deux rives d'une rivière encaissée d'un bleu vert étonnant. Ses habitants paraissent bien décidés à faire commerce de leurs coutumes (chants, danses et parures d'argent exceptionnelles) et de leurs industries (travail de l'argent et de la corne de buffle, pralines à base de pâte de cacahuètes et de sésame, etc. ).Toute la ville semble tournée vers cet unique but. Les maisons de bois, aux structures et aux parois étonnamment minces, ne cèdent aucun terrain aux constructions modernes. Le soir, toutes les habitations allument leurs lampions électriques et la petite ville brille de mille feux. Les femmes Miao participent à l'agencement des rues et aux multiples travaux de construction. Nous dormons chez l'habitant dans une maison de bois haut perchée d'où nous pouvons embrasser d'un même regard l'ensemble de la vallée et de ses constructions. Il fait humide et froid. Les femmes portent de gros chignons surmontés d'immenses fleurs rouges, soutenus par un peigne en corne ou en bois. Les broderies de leurs habits traditionnels reproduisent fleurs et oiseaux entrelacés. Les jours de fête, elles portent d'énormes parures d'argent. Avant de remonter dans notre chambre de fortune, nous buvons un peu de mi jiu (米酒), cet alcool de riz réputé si fort mais qui ne nous tournera même pas la tête.